Outil pédagogique de prévention de l’homophobie réalisé à partir de 5 courts métrages. (France)

L’outil «jeunes et homos sous le regard des autres» a pour objectif principal de favoriser le respect de la diversité sexuelle et prévenir les attitudes, paroles et comportements discriminants (homophobes) et leurs conséquences chez les jeunes de 11 à 18 ans à partir de ces courts métrages écrits par des jeunes.

Depuis quinze ans, plusieurs études scientifiques ont mis en évidence des taux de suicides bien plus importants chez les jeunes lesbiennes, gays ou bisexuels. La question de la prévention du mal-être et du suicide chez les jeunes victimes d’homophobie s’est petit à petit imposée dans le champ de la santé publique.

C’est pourquoi la Ministre de la Santé et des Sports ­Français, en collaboration avec l’Inpes, a organisé un concours de scenarii qui a abouti à la réalisation d’un véritable outil pédagogique.

5 courts métrages

Basket et maths
sur une idée originale de Sébastien Perroy, 29 ans, assistant réalisateur, Ile-de-France.

En Colo aka Action ou vérité ?
sur une idée originale de Guillaume Nail, 29 ans, comédien, Basse-Normandie.

Les incroyables aventures de Fusion Man, aka Fusion in-Fusion out
sur une idée originale de David Halphen, 21 ans, étudiant en cinéma, Ile-de-France.

Omar 
sur une idée originale de Axel Djossou, 18 ans, étudiant en Arts du spectacle, Rhône-Alpes

Pauline aka La renaissance
sur une idée originale de Daphné Charbonneau, 21 ans, étudiante aux Beaux Arts, Pays de la Loire.

Documents réalisés par l’Agence de la santé publique du Canada.

Les présentes réponses à des questions souvent posées sur l’orientation sexuelle dans les écoles canadiennes reposent sur des recherches basées sur les faits.

Cette ressource est destinée aux planificateurs de programmes d’études, aux éducateurs (qu’ils interviennent au sein des établissements ou à l’extérieur) aux administrateurs, aux décideurs et aux professionnels des soins de santé, afin de les aider à appliquer les Lignes directrices actuelles de façon que:

  • les programmes d’éducation en matière de santé sexuelle traitent des besoins pressants des jeunes qui font partie des minorités sexuelles en matière de santé, de sécurité et d’éducation, et répondent aux questions des jeunes qui s’interrogent au sujet de leur orientation sexuelle et/ou de leur identité de genre;
  • les expériences des jeunes qui font partie des minorités sexuelles fassent partie intégrante de toutes les facettes de l’éducation générale en matière de santé sexuelle;
  • les éducateurs, les administrateurs et le personnel des conseils scolaires disposent d’une meilleure compréhension des buts et des objectifs de l’éducation générale et intégrée en matière de santé sexuelle.

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